TOUT SAVOIR SUR LE SOLEIL

L’été arrive , vite un écran solaire pour se protéger…mais de quoi au juste ?

le soleil fait souvent l’objet de controverses, il est pourtant absolument indispensable à la vie et en particulier à la synthèse de la vitamine D.C’est l’excès de soleil qui peut être nuisible à la santé.

Les ultra-violets présentent des effets sanitaires bénéfiques, mais il y a le revers de la médaille.

En effet, ils accélèrent le vieillissement de la peau (surtout les UVA) et risquent de provoquer certains cancers, (UVA et UVB confondus). Il faut bien prendre en compte le fait que la peau n’oublie jamais les coups de soleil et les séances de bronzage excessives, et qu’elle risque de nous le rappeler douloureusement.

Il est bon pour :

  • Notre moral

Les rayons du soleil stimulent la production d’endorphines, les hormones du bien-être. Autre élément qui contribuerait à nous mettre de bonne humeur : des microparticules contenues dans l’oxygène de l’air, les ions négatifs, qui agissent sur le niveau de sérotonine, l’’hormone de la bonne humeur , également réputée pour nous couper l’envie de grignoter. Et comme son taux grimpe avec l’intensité lumineuse, elle sera d’autant plus active en été.

  • Notre cœur

Une exposition de trente minutes par jour aux rayons solaires serait bénéfique pour le cœur. Les Australiens auraient près d’un tiers de maladies cardiaques en moins que les Britanniques. Le docteur Richard Weller, un dermatologue écossais, s’est intéressé aux effets bénéfiques sur la pression sanguine et la dilatation des artères coronaires, dus à l’oxyde nitrique – neurotransmetteur produit en grande partie par la peau, surtout quand il fait soleil. Il a pu établir que la peau produisait de l’oxyde nitrique ; le soleil libère ces stocks en les envoyant dans la circulation sanguine. Des essais ont effectivement permis de montrer une augmentation de l’oxyde nitrique circulant chez les personnes placées sous une lampe UV pendant une durée équivalant à trente minutes de soleil. A mesure que le niveau d’oxyde monte, la pression sanguine diminue légèrement, mais assez pour modifier le taux de maladies. Les dérivés nitrés sont des vasodilatateurs (angine de poitrine).

 

  • Notre squelette

Le soleil maintient la densité osseuse.

Il est prouvé, le calcium n’est d’aucune efficacité sur le squelette sans vitamine D en quantité suffisante pour l’y fixer. Or on n’en trouve pratiquement pas dans les aliments, hormis dans l’huile de foie de morue. En revanche, elle peut être synthétisée par la peau mais, pour cela, le soleil est indispensable. C’est le principe de l’héliothérapie, qui vient du grecHélios, soleil, et therapeia, traitement.

S’exposer, visage et mains, un quart d’heure par jour suffit à assurer la synthèse interne de vitamine D. A condition, de ne pas s’enduire de crème solaire avant, celle-ci faisant barrière au passage des UV ni de se cacher derrière d’épaisses lunettes de soleil.

  • Notre sommeil

La sécrétion de la mélatonine, hormone du sommeil, commence vers 20 heures, avec un pic la nuit vers 3-4 heures du matin. Pour passer une bonne nuit, il faut avoir reçu assez de lumière le jour car la fabrication de la mélatonine est déclenchée par la sérotonine qui, pour sa part, est sécrétée en quantité supérieure sous l’effet de la lumière.

  • Lutter contre le psoriasis

C’est une maladie psychosomatique et d’encrassage, qui touche 2.5% des Français.

Pour 85 % des patients, des expositions très courtes au soleil – mais aussi la Puvathérapie, qui consiste à s’enfermer dans une cabine pour recevoir des rayons ultra- violets A (UVA) sur tout le corps – atténuent les plaques, jusqu’à les faire disparaître. Une exposition régulière de cinq minutes, le matin ou après 17 heures, permet en effet au soleil d’agir comme un immuno-modulateur, en freinant, en quelque sorte, le système immunitaire impliqué dans cette maladie. Le mot «freiner» convient bien puisque, dans le psoriasis, il y a emballement de la production des cellules de l’épiderme, qui mettent trois jours au lieu de trois semaines pour s’accumuler à la surface de la peau. Le soleil agit directement sur leur noyau en freinant leur prolifération.

Comprendre l’étiquette de son écran solaire

Afin d’assurer aux consommateurs, qu'ils obtiennent une protection dite « à large spectre »la FDA a rendu finale un certain nombre de normes.

Le vaste ensemble de données ne démontre pas que les indices de SPF supérieur à 50 fournissent plus d'avantages qu’une SPF 50. En outre, un FPS 50 fournirait seulement 1% de protection de plus qu'un SPF 30 .

Les nouveaux règlements sur l'étiquetage et les normes finales solaires depuis 2013 et au-delà, tel que publié par la FDA, sont les suivants :

PROTECTION A LARGE SPECTRE (Broad Protection Spectrum). 

Seuls les écrans solaires qui réussissent la procédure de test de la FDA( mesurant dans la protection, le rapport UVA/UVB au moyen de la critique de longueur d' ondestest, peuvent être étiquetés comme «large spectre SPF sur l'étiquette frontale.

REVENDICATIONS COMMERCIALES/ CONSEILS D’UTILISATION

 Seuls les écrans solaires à large spectre avec une valeur FPS de 15 ou plus , peuvent prétendre réduire le risque de cancer de la peau et le vieillissement cutané induit par l’exposition au soleil, s’ils sont correctement utilisés et assortis d’autres mesures de protection solaire( éviter les expositions prolongées, les heures de fort ensoleillement.) 

Les écrans solaires non-larges spectre et les écrans solaires à large spectre avec une valeur SPF compris entre 2 et 14 peuvent, seulement, prétendre à prévenir du «  coup de soleil » 

"Imperméable à l’eau," sweatproof "ou" autres allégations.
 

Les fabricants ne peuvent pas étiqueter les écrans solaires comme« écran solaire imperméable à l'eau "ou" résistant à la sueur "ou d' identifierleurs produits comme" sunblocks’’(bloquant le soleil) parce que ces revendications surestiment leur efficacité.

 Les écrans solaires peuvent également prétendre à fournir une protection solaire pendant plus de 2 heures sans ré -application ou de fournir une protection immédiatement après l'application (pour "protection instantanée" )sans soumettre des données pour étayer ces allégations et obtenir l'approbation de la FDA.

Revendications résistant à l'eau. Les revendications de la résistance de l' eau sur l'étiquette frontale doit indiquer si l'écran solaire reste efficace pendant 40 minutes ou 80 minutes pendant la baignade ou la transpiration, basée sur des tests standard. Les écrans solaires qui ne sont pas résistants à l'eau doivent inclure une direction demandant aux consommateurs d'utiliser un écran solaire résistant à l'eau (si baignade ou transpiration.)

 

LE SOLEIL ET VOTRE PEAU

-LES RAYONS ULTRAVIOLETS C (UVC) sont absorbés et dévié loin de la terre par notre couche d'ozone, sans jamais nous atteindre. Les rayons UVC ne sont pas, actuellement, une préoccupation, dans la protection solaire.

- LES RAYONS UTRAVIOLETS (UVB) sont responsables des «brûlures cutanées », endommageant principalement la couche externe de l'épiderme. Ce sont les seuls rayons auxquels la mention «SPF» fait référence. Les rayons UVB peuvent causer le cancer, bénins, de la peau(les fameux carcinomes).

- ULTRAVIOLET A RAYONS I & II (UVA I & II)pénètrent jusqu’au derme. Ces rayons sont à l’origine du "bronzage" mais aussi, responsablesdes dommages cellulaires de l'ADN, du vieillissement prématuré, des rides et du cancer de la peau, y compris le mélanome.

Depuis 2012 la règlementation de la FDA (concernant les filtres solaires) fait référence à une capacité qu’ont les produits à filtrer les rayons UVB et une quantité requise de rayonnement UVA.

Les écrans solaires : chimique/minéral ?

Les écrans physiques ou minéraux comprennent l’oxyde de zinc et dioxyde de titane.

L’oxyde de titane (E171) fait l’objet de controverse : il est suspecté d’être cancérigène, même sous sa forme simple et pour l’effet « cocktail » qu’il représente en raison de son utilisation massive par l’industrie agro-alimentaire. Pour le rendre plus facilement utilisable, il est surtout utilisé sous sa forme « nano » et nul n’est censé ignorer les dangers que présente cette technologie (l’infinie petitesse des nanoparticules fait qu’une fois sur la peau, elles sont véhiculées via le système sanguin dans tout le corps et se fixent dans les systèmes nerveux et digestifs, entre autres.)

Alors que le Zinc(ZnO) est un oligo-élément indispensable à l’organisme, souvent utilisé pour traiter les problèmes cutanés. Il est le seul vrai filtre physique qui fonctionne comme un hybride par diffusion de la lumière UV, ainsi que par l'absorption du rayonnement UV La pellicule de zinc fera office de barrière cutanée en réfléchissant ou dispersant les rayons UVA et UVB, couvrant l'ensemble du spectre. L'oxyde de zinc est le seul ingrédient à large spectre UVA / UVB approuvée par la FDA.

Ces caractéristiques restent stables dans le temps.

Le zinc est recommandé pour les peaux sensibles et/ou allergiques (il est même utilisé comme modificateur de terrain dans certaines pathologies).Il ne favorise pas la création de radicaux libres et n’est pas un perturbateurendocrinien (hormonal)contrairement aux écrans solaires chimiques. L'oxyde de zinc est un minéral insoluble, fixé par le support huileux de la crème, à la surface de la peau .

Les filtres chimiques comprennent une large gamme d'ingrédients. Ces agents agissent en interaction avec la couche supérieure de la peau en absorbant les rayons UV et en les convertissant en énergie. Une fois, cette énergie absorbée par les filtres, elle estrestituée, en passant dans le derme,sous forme de chaleur. 

Bien que les filtres chimiques « ancienne génération »aient tendance à bien protéger contre les rayons UVB, ils n’offre qu’une faible protection contre les UVA. 

La nouvelle génération d'absorbeurs chimiques est beaucoup plus « photo-stable », elle présente, cependant des limites à la quantité de rayonnement UV à absorber, son efficacité reste donc aléatoire.

Certains des produits chimiques utilisés passent entièrement à travers le flux sanguin et induisent des perturbations des hormonales. Ils sont également impliqués dans les destructions des massifs coralliens.

Dioxyde de titane(E171) : danger ! Selon une étude de l’INRA

Une étude de l’Institut national de la recherche agronomique (Inra) menée sur des animauxmontre que l’exposition orale au dioxyde de titane (E171), additif utilisé dans l’industrie agroalimentaire et de nombreux produits d’usage courant (biscuits, bonbons,dentifrices, crèmes solaires), est susceptible d’entraîner des effets sur la santé.

Première constatation : l’E171 pénètre la paroi de l’intestin et passe bel et bien dans le sang puisqu’on en retrouve trace dans le foie des rongeurs. Deuxième découverte : au bout de sept jours, on constate des phénomènes qui signent un abaissement des défenses immunitaires. Et enfin, des lésions précancéreuses se forment chez 40 % des animaux : https://www.quechoisir.org/actualite-colorant-e171-un-additif-sous-surveillance-n24029/

Cet additif est présent dans les cosmétiques, dentifrices, produits alimentaires, médicaments et dans dans de nombreuses crèmes solaires, surtout les bio et minérales.

Une alternative peu fréquente à base d’oxyde de zinc existe, c’est une gamme de produits solaires, qui ne contient pas de dioxyde de titane, entièrement biologique et naturelle, sans nono particules, colorants et filtres chimiques, sans parfums ni conservateurs, non OGM .

Les filtres chimiques des produits SOLAIRES sont TOXIQUES mais pas que pour le corail :

Ils le sont aussi pour :

  • LES ALGUES
  • LES OURSINS
  • LES POISSONS
  • LES MAMMIFÈRES
  • LES TORTUES
  • LES REPTILES
  • LES MOLLUSQUES…

Ils inhibent le développement embryonnaire, modifient l'ADN, perturbent le système endocrinien (hormones).

Cela se traduit par :

-des troubles de la reproduction chez les mammifères (humains, marins) et une réduction de la fertilité (le développement des organes sexuels est modifié). Il est même retrouvé dans le lait maternel.

-des modifications de genre chez les poissons (féminisation des Mâles), réduction de production d’œufs chez les femelles, entre autres effets.

25ml de ces filtres chimiques suffisent à contaminer l’équivalent de 6.5 piscines olympiques .C'est entre 6000 et 14 000 tonnes de ces filtres chimiques qui contaminent nos océans chaque année …

Indépendamment de la toxicité des autres ingrédients : parabènes, silicones, polymères issus de la pétrochimie…tous non biodégradables… !

NOTRE OCÉAN, NOTRE LAGON…

L'utilisation d'écrans solaires chimiques menace notre Océan, tuant nos récifs coralliens.

L'oxybenzone, qui se trouve dans la majorité des protections solaires dans le monde , peut nuire au corail vivant dans des concentrations aussi petites que 62 parties par trillion, soit l'équivalent d'une seule goutte dans six piscines de taille olympique.

L'utilisation de produits contenant ces filtres chimiques doit être sérieusement encadrée,dans les îles et les zones où la conservation des récifs coralliens est un problème critique.L’interdiction de ces produits, permettrait de réduire la pollution environnementale et permettre aux coraux, de supporter le stress des étés chauds, permettant ainsi aux zones dégradées de se rétablir.

« Construire des pépinières de corail pour la restauration des récifs, n'aura de valeur que si les facteurs qui ont engendrés la destruction des récifs sont éliminés de leur environnement ".

-Dr. Craig Downs, alum University of Hawaii à Manoa; Directeur exécutif / chercheur de l'organisation scientifique sans but lucratif Haereticus Environmental Laboratory in Virginia.

HUFFINGTON POST

Dans les Caraïbes, qui possédaient quelques-unes des formations les plus spectaculaires, 80% des coraux ont disparu. C'est là que le tourisme est la pierre angulaire économique et, par conséquent, les résidus chimiques de protection solaire sont soupçonnés d'être un facteur causal majeur. Certains États insulaires des Caraïbes envisagent tardivement d'interdire les écrans solaires nuisibles.

PHYSICS.ORG

Les chercheurs ont constaté que l'oxybenzone, est en forte concentration dans les eaux autour des récifs coralliens les plus populaires d'Hawaï et des Caraïbes.

Le produit chimique ne tue pas seulement le corail, il provoque des dommages à l'ADN chez les adultes et dans le stade larvaire, ce qui rend peu probable qu'ils se développent correctement. Les concentrations les plus élevées d'oxybenzone ont été trouvées dans les récifs les plus populaires auprès des touristes.

INGRÉDIENTS INTERDITS DANS LES RÉSERVES ECO-MARINE:

Beaucoup de gens utilisent sans le savoir des écrans solaires qui endommagent les coraux. Malheureusement, il existe tellement de désinformation et peu de règlements sur la terminologie. Vous verrez souvent des mots comme «naturels», «éco-sécuritaires» ou «sain pour le récif» dans le nom ou la description de produits très toxiques, de fausses allégations induisant les consommateurs en erreur.Certaines marques font délibérément de la publicité mensongère, certifiant que leur produits sont sains pour la vie marine, avec des appellations « reef safe » et ou du « green Washing » alléguant que leurs produits favorisent la croissance corallienne. Dans les faits, ils sponsorisent des ONG, qui font de lare- végétalisation corallienne …Ils s’achètent une image vertueuse : « je détruis mais je finance de la reconstruction.. »

Vous trouverez ci-dessous une liste des ingrédients de mise en garde interdits dans de nombreuses réserves marines.

Que sont les perturbateurs endocriniens ?

Pour en parler, on en parle ! Les perturbateurs endocriniens sont désormais dans le collimateur de la communauté scientifique et des médias et c’est tant mieux. Mais que fait-on réellement pour s’en protéger ? Eh bien, pour l’instant… pas grand-chose ! DE QUOI PARLE-T-ON ? Les perturbateurs endocriniens sont des substances chimiques de diverses familles, qui ont un point commun : elles entrent en interaction avec le système endocrinien (des hommes comme des animaux), qui régule la production des hormones à la base de l’équilibre de notre santé.

On les appelle aussi parfois des leurres hormonaux, qui induisent notre système endocrinien en erreur, certaines en imitant l’action d’une hormone ou en bloquant son récepteur, d’autres en entravant l’acheminement des hormones, leur production ou leur dégradation dans l’organisme.

QUEL EST LE PROBLÈME ?

Les effets des perturbateurs endocriniens sont particulièrement dangereux pour les fœtus dans le ventre de leur mère et pour les tout-petits enfants. C’est en effet durant cette période de la vie que le développement et la fonction à venir des organes, notamment sexuels, peuvent être le plus gravement perturbés, avec pour conséquence de graves malformations et/ou des dysfonctionnements de l’appareil reproductif. Ils pourraient aussi s’avérer nuisibles dans des périodes de bouleversements hormonaux naturels comme la puberté. On les soupçonne également d’être responsables de la baisse importante de la fertilité observée dans les pays occidentaux actuellement.

POURQUOI DÉROUTENT-ILS ?

En chimie, le principe de base, et depuis des générations, c’est : la dose fait le poison. Par exemple, plus on ingère une substance dangereuse, plus ses effets nocifs sont graves. Mais les perturbateurs endocriniens fonctionnent différemment. D’une part, ils sont actifs et dangereux à des doses très faibles ; d’autre part, leur nocivité est décuplée quand ils sont en synergie, c’est-à-dire quand on les met en contact simultanément avec plusieurs d’entre eux. C’est ce qu’on appelle l’effet cocktail.

COMMENT S’EN PROTÉGER ?

Quelques mesures ont été prises ici ou là, comme en France où le Bisphénol A a été interdit dans les contenants alimentaires… Mais cela est bien insuffisant pour protéger les consommateurs que nous sommes tous, et particulièrement les femmes enceintes et les enfants.

En décembre 2015, la Cour Européenne de Justice a condamné la Commission Européenne pour inaction en la matière avant que celle-ci ne statue finalement à minima en juin 2016, scandalisant une large part de la communauté scientifique. Aucune disposition restrictive ne concerne aujourd’hui les produits cosmétiques.

Pourtant, un bon nombre de substances sont clairement soupçonnés d’agir en perturbateurs endocriniens, et regarder de près la liste des ingrédients qui est obligatoire sur tous les cosmétiques avant de les acheter permet de les éviter… et de se protéger, autant que faire se peut.

QUELS SONT LES PERTURBATEURS SUSPECTÉS ?

On peut trouver des perturbateurs endocriniens dans pratiquement toutes les catégories de produits cosmétiques, y compris ceux destinés spécifiquement aux femmes enceintes et aux bébés. À surveiller particulièrement :

– Les filtres anti-UV dans les crèmes et laits solaires, mais aussi dans les fonds de teints ou les crèmes anti-âge qui affichent un SPF : les Benzophenones (2, 3 et 4), le Benzyl salicylate, l’Ethylcinnamate, l’Ethylhexylmethoxycinnamate, l’Isoamylmethoxycinnamate, le 4-methylbenzylidene camphor…

– Les conservateurs qui peuvent être utilisés dans tous les types de produits : les parabènes (surtout les Propylparaben, Butylparaben, Isobutylparaben), les Triclosan et Triclocarban…

– Les parfums chimiques, qui peuvent contenir des phtalates ou muscs d’origine synthétique…

-Les contenants alimentaires en plastiques contenant du bisphénol A, des phtalates

Une étude menée par l’Inserm montre que l’exposition prénatale aux perturbateurs endocriniens est associée à des troubles du comportement chez les garçons de 3 à 5 ans. Les composés les plus préoccupants étaient le bisphénol A, le triclosan et le phtalate de dibutyle, ou DBP.Il y avait une association entre des troubles émotionnels ou de l’hyperactivité chez les enfants et l’exposition aux perturbateurs endocriniens pendant la grossesse.


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